Ready, set, zoom !

Explications et rétroacte : j'avais décidé d'offrir à Loulou un saut en parachute pour nos dix ans d'amour. Avouez que l'idée avait de quoi surprendre mais, séduite par l'initiative, Loulou a dit oui sans hésiter. Evidemment, je me faisais plaisir aussi et c'était l'occasion aussi pour moi de voir si je pouvais voler dans les airs tel Vil Coyote.

L'organisateur, Arnaud Mouqué ...

...et l'avion qui nous porté à 4.000 mètres d'altitude.

Yves a accompagné Loulou dans les airs.

Loulou dans les airs ...

Ci-dessus, c'est moi. Je manoeuvre impeccablement mon parachute. Je me balade comme si j'en pilotais un tous les jours pour aller au bureau, ce qui ... euh ma foi ... serait bien pratique. Ci-dessous ce n'est pas moi. Alors, pendant la formation, Maud nous a expliqué qu'il fallait absolument cambrer, càd se courber tel un arc de cercle, regarder son altimètre et ses instructeurs. Eh bien non, là-heut, on n'y pense plus. C'est un autre monde, on oublie tout. La chute libre dure 45 à 50 secondes mais en paraît 25.

Cambrer !

Maud nous guide pour l'atterrissage.

et Yves a pris le relais.

Laurent m'a accompagné dans les airs pour la chute libre.

Et dire que Loulou a été chez la coiffeuse la semaine précédente ...

Loulou et moi après le saut. On regarde les autres sauter mais on ne posait pas. Le plus impressionnait, c'est la chute libre, période pendant laquelle on perd tous ses moyens tellement le temps passe vite. Impossible de dire non plus que je tombais à 200 km. Il y a une sensation de vitesse mais ça ne paraît pas 200 à l'heure. Par contre, l'air est plus sec là-haut.

Ici avec Sébastien, qui a suivi la formation avec nous.

Marc, à droite, et ses amis, ont aussi suivi la formation avec nous.

En fin d'après-midi, Yves, entre autres, s'est fait baptiser pour ses 500 sauts (ça flairait à donf!). Penser bien évidemment à mettre un slip propre pour toute occasion semblable!